Les voleurs de temps externes // Les voleurs de temps internes
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1. Appels téléphoniques imprévus ou inutilement longs. |
"on se rappellera pour fixer un rendez-vous" "je travaille chez moi car je ne peux pas travailler à l'iufm" organiser une réunion avec tous les intéréssés pour définir la politique de l'entreprise: directeur général-directeur commercial-directeur du marketing-chef de produit-directeur technique-chefs d'équipes - responsables syndicaux et représentants divers du personnel : cela fait sourire je l'espère mais c'est une pratique habituelle à l'iufm : faire croire qu'il existe une DIRECTION COLLEGIALE : c'est confondre la légitime communauté d'objectifs (éducation nationale, formation des personnes....) avec la responsabilité des dirigeants qui ne peut être partagée... |
la secrétaire les collaborateurs et les collègues Les réunions Écrire Le courrier y compris le courrier électronique (mél) Les clients-élèves-étudiants-stagiaires |
2. Conversations non abrégées. Politique de la porte ouverte. |
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3. Manque de formation ou de compétence du personnel. |
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4. Secrétariat déficient. |
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5. Interruptions provenant de la hiérarchie. |
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6. Repas d'affaires, relations publiques. |
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7. Réunionite : réunions trop fréquentes, imprévues, mal préparées, mal conduites. |
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8. Gens disponibles. |
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9. Système de classement déficient. |
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10. Étude du courrier. |
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11. Circuits d'information inexistants ou défaillants. |
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12. Systèmes de contrôle insuffisants. |
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13. Statistiques nombreuses à fournir. |
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Objectifs et priorités vagues et changeants. |
Préparer quotidiennement un programme de travail (liste des choses à faire - liste des objectifs - le plan de la journée) Structurer son programme de travail (le plan d'action - l'agenda) Gérer des réunions et des entretiens Quelques éléments récapitulatifs sur l'organisation personnelle Des lois La délégation |
Absence de plan de travail quotidien. |
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Travaux non terminés, encore "en cours". |
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Pas de dates limites auto-imposées. |
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Tendance à en faire trop, perfectionnisme. |
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Manque d'ordre, mauvais classement ou rangement. |
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Confusion et doublons dans les responsabilités. |
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Délégation insuffisante, désir de tout contrôler. |
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Attention excessive aux détails. |
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Intérêts dispersés et trop nombreux. |
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Inaptitude à dire non, excès d'engagements. |
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Manque de décision, report à plus tard. |
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Décisions trop rapides. |
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Fatigue, baisse de forme |
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Inaptitude à distinguer l'essentiel de l'accessoire. |
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Ceux qui maîtrisent leur temps se mobilisent sur
l'essentiel, distinguent l'important de l'urgent et
privilégient l'important. Certains ont toujours sur
eux une liste de cinq à dix priorités,
classées par ordre d'importance. |
La liste des priorités |
Une liste de priorités est une des deux listes précédentes (liste de choses à faire ou liste d'objectifs) dans laquelle on a opéré une sélection ou un classement des éléments. Ainsi, classer dix objectifs par odre d'importance décroissante ou n'en retenir que trois comme essentiels, permet de passer d'une simple liste d'objectifs à une liste de priorités. La notion de priorité est un facteur d'efficience dans la mesure où elle permet;de concentrer l'action sur l'essentiel. "Penser en fonction des priorités, c'est là l'important" affirme Peter Drucker. Jean Monnet raconte, quant à lui, comment il constata lors de la mise en place du premier plan français, que cette logique des priorités n'était pas habituelle : "Pour ce qui serait de l'action à entreprendre, je savais que nous aurions à nous concentrer sur cinq ou six points décisifs. Les autres resteraient comme des repères utiles pour orienter, encourager, ou freiner les initiatives dans les secteurs moins importants, ou en tous cas moins urgents. Une fois de plus, et non la dernière, j'eus à expliquer, à justifier le choix des priorités aussi bien aux producteurs qu'aux consommateurs et aux pouvoirs publics, qui veillent aux arbitrages : la tendance naturelle des uns et des autres est de continuer à faire tout à la fois. On dirait qu'il n'est pas de plus grand effort pour l'homme que de hiérarchiser ses efforts. " Les vraies priorités sont peu nombreuses et c'est celles-là qu'il convient de bien prendre en considération. Le principe de Pareto met en évidence que dans bien des cas 20 % seulement des actions produisent 80 % des résultats. A vouloir tout faire de la même façon, on se perd dans l'accessoire et on ne se consacre pas assez à l'essentiel. Quand vous rédigez une liste de priorités, vérifiez bien que vous privilégiez le critère d'importance (contributions, résultats) par rapport à d'autres critères tels que l'urgence (délai, échéance), les motivations ou préférences personnelles, la facilité, etc..., souvent mis en avant dans la pratique, mais au détriment de l'efficacité. Concentrez-vous sur un nombre limité de priorités (3 à 5 dans la plupart des cas). Utilisez votre liste de priorités comme un outil d'analyse critique de la façon dont vous répartissez votre temps. A partir de relevés de votre temps, identifiez les secteurs non prioritaires auxquels vous consacrez trop de temps et inversement les secteurs prioritaires que vous négligez. Reliez systématiquement la plus grande partie de vos actions quotidiennes. à vos priorités immédiates mais aussi à vos priorités à moyen terme. Inversement, éliminez ou réduisez toutes les activités sans lien clair avec vos priorités, établissant ainsi la liste de vos postéàoàtés, selon l'expression de Peter Drucker. La liste de priorités est un guide pour votre action et votre organisation personnelle. Elle vous protège du piège qui consisterait à vouloir tout faire, seul, tout de suite. Elle vous permet de mettre en pratique le secret de la gestion du temps que Charles Schwab, lorsqu'il était président de la Bethlehem Steel, acheta 25 000 dollars au consultant Ivy l~ee, en estimant que c'était là un des investissements (es p'us rentables de sa compagnie : "Écrivez sur une feuille de papier les six tâches les plus importantes que vous avez à faire demain, et numérotez-les par ordre d'importance. Demain matin, attaquez-vous immédiatement à la tâche numéro un et continuez jusqu'à ce qu'elle soit terminée. Vérifiez votre ordre de priorité, puis attaquez le numéro deux. Aucune importance si une tâche prend toute la journée. Ne la lâchez pas si c'est la plus importante. Si vous ne finissez pas tout, vous n'auriez probablement pas fait mieux avec une autre méthode, et, par l'absence de système, vous n'auriez problablement pas pu décider quel était le travail le plus important". |
Il s'agit d'investir quelques minutes par jour à l'analyse de ce qui a été fait ou pas au cours de la journée de travail écoulée et de prévoir le plan de journée du lendemain. Jean I-ouis servan schreiber parle de la nécessité d'un "rendez-vous avec soi-même", qu'il appelle le "rendez-vous du temps" et qui demande un minimum de dix minutes de calme absolu. Mark H. Mc Cormack, célèbre homme d'affaires américain, pratique la même démarche et la conseille : "organisez'le soir même l'emploi du temps du lendemain. C'est ce qui, le soir, m'apportera la paix de l'esprit, le sentiment que je domine la situation et une certaine exaltation à l'idée de reprendre le lendemain. I-e simple fait d'organiser le jour suivant, de définir, sur le papier, ce que je veux accomplir, me donne l'impression que j'ai une tète d'avance!". |
C'est une pratique déjà largement développée. Elle gagne pourtant à être encore répandue et systématisée. Beaucoup font trop souvent confiance à leur mémoire. A tort, ils courent le risque de l'oubli ou de l'encombrement de cette mémoire. Einstein avait noté son propre numéro de iiléphone et se refusait à le connaître par coeur afin d'économiser sa mémoire pour des choses plus importantes pour lui. Kasparov, qui est considéré comme une hypermémoire et se souvient de milliers de parties d'échecs, a constaté que sa mémoire se bloque quand il emmagasine trop d'informations inutiles : il note ses rendez-vous sur des petits bouts de papier. Une liste permet d'éviter l'oubli et soulage la mémoire, mais elle permet aussi de prendre du recul par rapport à l'événement et d'éviter le stress. Le Dr Hans Selye, le spécialiste mondial du stress, était un faiseur de listes invétéré. Établir une liste, c'est à la fois intégrer l'événement, l'imprévu, l'urgence et prendre du recul. Une fois les choses notées sur le papier, elles sont enregistrées, prises en compte et en même temps objectivées. Elles deviennent du matériel sur lequel on travaille, en décidant ce qui doit être fait tout de suite, plus tard, ou jamais ce qui peut être délégué, ce qui mérite plus ou moins de temps, etc... _ La liste est un premier outil de maîtrise de son temps qui permet une vision globale de l'ensemble des activités et une réflexion sur l'organisation de celles-ci. Les listes de choses à faire peuvent prendre des formes très variées. Vous pouvez, comme certains, utiliser une liste unique, que vous actualisez en permanence, en intégrant au fur et à mesure les nouvelles activités à réaliser et en rayant celles qui sont terminées. Vous pouvez aussi, comme d'autres, éclater une liste de base en plusieurs listes spécifiques :
Lorsqu'il était président de Pepsi Cola, Andy Pearson a déclaré qu'un de ses outils de management les plus utiles était une liste manuscrite de problèmes et d'opportunités qu'il tenait à jour pour chacune des divisions dont il avait la charge. Cette liste évolutive, réactualisée trois ou quatre fois par an, lui permettait de garder l'oeil sur l'essentiel. |
Tenir une liste de choses à faire permet de travailler au niveau de quoi : quelles tâches ou activités mener ? Tenir une liste d'objectifs amène une réflexion et une action au niveau du pourquoi : quels sont les buts que je vise, les résultats que je veux atteindre ? C'est un niveau d'implication à la fois plus difficile et plus fondamental. Depuis longtemps, la notion d'objectif est centrale dans la théorie et la pratique du management, On sait que l'entreprise, l'unité ou l'individu qui n'ont pas d'objectif risquent de n'aboutir nulle part. Sans cible, pas de performance. Sans cap, le navire dérive. Pourtant de nombreuses personnes, dans leur vie professionnelle ou personnelle, subissent la pression des événements et de l'environnement, ainsi que la tyrannie du court terme et naviguent à vue, quand ce n'est pas sans visibilité, ne se sentant pas vraiment acteurs de leur existence et ne parvenant pas à inscrire leurs actions dans un projet ou dans une stratégie individuelle. Si vous voulez rester maître à bord et augmenter vos chances d'arriver à bon port, établissez la liste de vos objectifs. Procédez pour cela selon une démarche de libre association créative (brainstorming) en notant en vrac toutes les idées qui vous viennent à l'esprit à partir de questions telle que :
A partir des idées que vous avez listées en vrac, vous pouvez formuler un certain nombre d'objectifs, c'est-à-dire de buts concrets, contrôlables, motivants, ambitieux mais accessibles. Vous pouvez établir une ou plusieurs listes d'objectifs, selon que vous distinguerez ou non différentes catégories :
retour voleurs de temps internes
Les différents types d'objectifs à lister Conservez avec vous chaque liste d'objectifs et
relisez-la régulièrement.
Imprégnez-vous de chaque objectif et pratiquez la
technique de la prévision créatrice en
l'imaginant atteint et en visualisant sous formes d'images
mentales positives les conditions et les
caractéristiques de cette réalisation. |
Un plan de journée est un support de gestion du temps qui regroupe les fonctions de l'agenda et celles d'une liste quotidienne de choses à faire ou mieux, de priorités. Sur la partie agenda sont notés les rendez-vous et les travaux préprogrammés, sur la partie liste d'activités différents travaux à exécuter, pouvant être affectés d'un coefficient de priorité et éventuellement répartis en différentes catégories (telles que : faire, voir, téléphoner) Un plan de journée peut être un imprimé spécifique, ou peut être construit rapidement en associant à un agenda classique une liste de choses à faire ou de priorités, ou en découpant en deux l'espace d'un agenda (la partie gauche étant réservée à l'inscription des rendez-vous, la partie droite à la formulation des activités à mener et /ou des priorités). Le plan de journée est un outil très utile
de management de son temps. Avant une journée de
travail, il incite à planifier et à
prévoir : comment se présente la
journée à venir ? Quels sont les points de
passage obligés et les zones d'autonomie à
organiser librement ? Quelles sont les priorités ?
Qu'est-ce qui semble faisable et qu'est-ce qui ne sera
probablement pas fait ? Etc... On estime en général que dix à
quinze minutes de planification préalable d'une
journée font gagner outre une plus grande
sérénité, une à deux heures dans
l'action développée au cours de cette
journée. Ces dix à quinze minutes peuvent
être investies, suivant les rythmes et les
préférences de chacun, la veille au soir ou le
matin avant de commencer à attaquer un premier
travail. La planification la veille au soir présente
toutefois l'avantage de ne pas se faire sous pression et de
laisser une nuit de repos entre la prévisiqn et
l'action. La fin de journée est l'occasion d'un bilan : le plan prévu a-t-il été suivi ? Sinon pourquoi ? Les dérives sont-elles justifiées ou non ? Le temps alloué a priori aux différentes activités était-il bien évalué ? Le travail fait a-t-il correspondu aux priorités immédiates et/ou aux priorités à moyen terme ? Quels ont été les points manquants de la journée ? En quoi le temps a-t-il été bien ou mal géré ? Quelles sont les activités et/ou les priorités à reporter sur le plan de journée du lendemain ? etc... |
Un bon programme de travail doit prévoir une alternance entre des plages de travail pour soi (porte fermée) et des plages de disponibilité pour les autres (porte ouverte) ainsi qu'une alternance entre des travaux planifiés et du temps pour traiter les imprévus importants. Chaque séquence doit être assez longue pour mener à bien à chaque fois que possible les travaux entrepris. Une formation à la gestion du temps amène souvent de nombreux responsables à revoir le découpage de leurs journées ou de leurs semaines de travail. |
Le plan d'action correspond à une autre
modalité de la planification. Le cadre n'est plus une
période de temps mais un projet. Le plan d'action est
un outil d'organisation de la mise en oeuvre d'un projet.
Beaucoup de projets en restent au niveau des intentions et
ne se réalisent pas dans les faits parce qu'on ne
s'est pas donné l'obligation de programmer à
l'avance le qui fait quoi pour quand. Le plan d'action est
un outil qui facilite le passage à l'acte. Il force
à découper un projet global en une succession
d'actions concrètes élémentaires.
Si nécessaire on peut également préciser :
Certains imprimés existent avec les
différentes rubriques d'un plan d'action, qu'il ne
reste plus qu'à remplir. En fait, il nous semble
qu'après avoir bien intégré la
démarche du plan d'action, chacun peut avoir l'outil
dans la tête et n'importe quel support
d'écriture peut se transformer si on le veut en
formulaire de plan d'action. |
C'est l'outil de base de la gestion du temps. Largement
utilisé, il ne l'est pas toujours de façon
rationnelle. |
Quand on sait que la plupart des managers passent de 30
à 70 % de leur temps en réunions ou en
entretiens, on conviendra que la recherche de
l'efficacité dans ce domaine n'est pas inutile. |
Pour dire oui à l'essentiel, il faut dire non aux
multiples sollicitations accessoires qui jalonnent la
journée d'un responsable d'encadrement.
Les secrétaires efficaces savent, elles aussi, jouer un rôle actif de filtrage et d'orientation positive des visiteurs. |
Loi de Carlson ou loi des séquences homogènes de travail TOUT TRAVAIL INTERROMPU SERA MOINS EFFICACE ET PRENDRA PLUS DE TEMPS QUE S'IL S'ÉTAIT EFFECTUÉ DE MANIÈRE CONTINUE |
Au début des années cinquante, en
Suède, le professeur Sune Carlson et ses assistants
chronométrèrent durant plusieurs mois le
travail quotidien de différents managers. Ils
constatèrent qu'ils ne travaillaient jamais plus de
20 minutes sans être interrompus. PRINCIPES DE LUTTE CONTRE LES INTERRUPTIONS Ne vous auto-interrompez-pas (eh oui) : terminez si vous le pouvez un travail entrepris. Limitez les interruptions externes, au moins à certains moments : faites jouer à votre secrétaire un rôle de filtrage ou de barrage, éduquez vos collaborateurs, vos collègues, votre chef, vos clients... |
Loi de Parkinson ou loi de la tendance à l'auto-inflation du temps dépensé LE TEMPS INVESTI DANS UN TRAVAIL VARIE EN FONCTION DU TEMPS DISPONIBLE |
L'humoriste anglais Northcote Parkinson a observé
que dans un système à tendance bureaucratique,
les moyens (donc les coûts) se développent par
eux-mêmes sans que pour autant les résultats
s'améliorent en conséquence. Ainsi, dit-il
"les employés se créent mutuellement du
travail" sans que ce travail améliore le service
fourni par l'institution. Le même constat vaut pour
l'organisation personnelle. L'augmentation du niveau
d'activité, la plus grande dépense de temps ou
d'énergie ne garantit pas un meilleur
résultat. Un travail qui pourrait être fait en
une heure si on ne dispose que d'une heure, sera
effectué en deux heures parce que l'on dispose de
deux heures. PRINCIPES DU CONTROLE DE LA RENTABILITÉ DU TEMPS INVESTI Raisonnez en fonction du temps nécessaire pour une activité et non en fonction du temps disponible, pour attribuer un "budget-temps" à cette activité. Fixez-vous des échéances, des dates limites, des butoirs à ne pas dépasser. |
LOI D'ILLITCH ou loi de la contre-productivité du temps investi au-delà d'un certain seuil AU-DELÀ D'UN CERTAIN SEUIL HORAIRE, LA PRODUCTIVITÉ DU TEMPS INVESTI DÉCROIT PUIS DEVIENT NÉGATIVE |
Ivan Illich, observateur féroce et critique quelque peu provocateur de nos sociétés industrielles a émis l'hypothèse qu'au-delà d'une certaine taille, nos institutions deviennent contre-productives, c'est-à-dire vont à l'encontre des finalités qu'elles visent. Les effets pervers l'emportent sur les résultats positifs : l'école devient un obstacle à l'éducation, la médicalisation un obstacle à la prise en charge par chacun de sa propre santé, les masse-médias un obstacle à la communication... L'analogie avec l'organisation personnelle est là encore intéressante. A partir de quelle charge horaire de travail devenez-vous improductif, voire contre-productif (risques d'inefficacité, d'accident du travail ou de la santé...) ? A partir de quand avez-vous intérêt à ne pas chercher à faire "plus de la même chose", mais autre chose, voire.., rien du tout ? PRINCIPES DE L'ÉQUILIBRE PERSONNEL Au-delà d'un certain seuil horaire (que vous fixerez vous-même), sachez vous arrêter pour faire autre chose, Sachez persévérer sans vous obstiner, refusez l'activisme et le perfectionnisme, soyez conscient de vos limites. |
UNE ACTIVITÉ EST URGENTE SI... sa non réalisation immédiate entraîne (avec une forte probabilité) des conséquences nuisibles, irréversibles, irrémédiables. L'urgence est souvent provoquée par l'extérieur. |
UNE ACITIVITÉ EST IMPORTANTE SI... elle contribue à la réalisation des objectifs de la fonction. |
ORGANISER, C'EST REMETTRE RÉGULIÈREMENT EN CAUSE CE QUI EXISTE POUR L'AMÉLIORER. |