1. En s'éloignant de l'axe de la dorsale
la
croûte s'épaissit par accumulation de
sédiments qui se transforment en roches
sédimentaires par diagénèse
la
croûte s'épaissit par le bas par ajout de
gabbros
le manteau
lithosphérique s'épaissit par abaissement de
l'isotherme 1300°C (refroidissement des
péridotites mantelliques qui, de facto ,
se retrouvent incluses dans la lithosphère).
2. Lorsqu'elle vieillit, la croûte
océanique
se
réchauffe
est
altérée du fait du réchauffement de
manteau qui la métamorphise
se
refroidit, s'enfonce par gravité, et est
altérée par des circulations hydrothermales.
3. Dans une zone de subduction
la
croûte océanique froide s'enfonce dans le
manteau lithosphérique
la
lithosphère froide s'enfonce dans la
lithosphère plus chaude
la
lithosphère océanique passe sous la
lithosphère continentale (ou océanique, dans
le cas d'une subduction océan/océan) et
s'enfonce dans l'asthénopshère.
4. Les zones de subduction
sont des
zones de convergence de plaques
sont des
zones où la lithsophère océanique
disparaît
sont des
zones d'échanges de matière et
d'énergie entre les deux plaques convergentes, ce
qui conduit à des séismes, du magmatisme et
du métamorphisme.
5. La tomographie sismique a
révélé que
le noyau
externe était liquide
les
dorsales sont des structures superficielles et qu'elles ne
correspondent pas à une remontée de manteau
chaud très profond
la
lithosphère océanique vieillie et froide
peut aller s'étaler très profondément
à la limite manteau-noyau.
6. Dans les modèles très modernes
on pense que
les dorsales peuvent former de la croûte
continentale
on pense
qu'il existe des subductions continentales
on pense
qu'il existe des lieux de fusion partielle beaucoup moins
rares que les seuls axes des dorsales et les points
chauds.